gagnons les municiapales

Notre objectif a tous c'est de gagner les prochaines élections présidentielles 2012. Pour évincer ce "connard" de sarkosy et le mot est faible. Mais pour commencer nous avons les municipales de 2008. Alors gagné oui mais sans modem avec la vrai union de la gauche sans exclusive mais surtout sans modem. C'est pour ce qui doute encore que la gauche va de Besancenot à Strauss-kahn (du fmi) mais sans Bayrou. on m'apelle pas le Trosskahien pour rien. lol......
Nous voulons gagner tous gagner ses municipales pour faire du contre pouvoir a notre "cher" president alors militons dans nos communes pour la liste de gauche quelque soit le candidat Et renversons la droite la ou pourra et gardons nos bastions. Ami julien a ce propos je suis pré a aider la campagne d'arlette



pour Arlette Arnaud-Landau et le puy en Velay
http://lepuy2008.fr/index.html

Sur le même sujet, je vous fait part d'une note que je viens de rédiger pour le blog de la campagne municipale dans ma commune (voir ici). Vos critiques sont les bienvenues, chers camarades :

Les municipales : des élections nationales ?

Tout le monde comprend bien que les élections municipales de mars prochain ne devraient servir qu’à étudier un projet pour l’avenir de notre commune. Mais pour la première fois, un Président de la République s’engage dans la bataille et en fait un enjeu national. Comme ça, on ne pourra pas nous reprocher de riposter dans les urnes à ce moment-là. Sa stratégie est simple : il fait des municipales un référendum sur sa politique. S’il l’emporte, il pourra poursuivre la voie ultralibérale qui affaiblit considérablement le pouvoir d’achat.

Donc sciemment, le Président de la République politise à fond le scrutin. À nous, électeurs, de lui répondre. Pour lui et pour la droite, c’est un test grandeur nature de la validation ou non de leur politique ; pour nous, il s’agit de lui signifier notre refus.

On pourrait me rétorquer : quel rapport avec Mozac ? Il s’agit, en plus de notre projet local et de l’intérêt porté à notre cadre de vie, de participer globalement à un contrepouvoir national. L’opposition ne doit pas être inerte, à se contenter d’attaquer sur le fond et non sur la forme. Elle doit agir et proposer une alternative crédible. Car la gauche pourrait très bien remporter, comme après le lourd échec de la présidentielle de 2002, toutes les élections intermédiaires sur le simple rejet de la droite, mais se retrouver dans l’incapacité de mobiliser autour d’elle un projet de société fort et solidaire et perdre la quatrième présidentielle de suite. Avec la quasi-totalité des régions que la gauche préside, si elle remporte un maximum de communes et de départements, elle pourra mener des politiques utiles dans le domaine social en mobilisant « davantage de financements que l’État lui-même » comme l’a bien décrit François Hollande.

À Mozac, dans notre campagne, nous mettrons en avant les considérations et les attentes locales. Toutefois, nous garderons en ligne de mire que la liste sortante est menée par les amis de Brice Hortefeux, chaleureusement accueilli avant la cantonale partielle de mars 2006.

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Jean-Luc Mélenchon, sénateur de l’Essonne, sur son blog (extraits) :

Dans quelques semaines les municipales et les cantonales. Ce sera le choc. Si l’opposition l’emporte, Sarkozy sera un canard boiteux jusqu’à la fin de son mandat et la division sera dans son camp. La rupture libérale aura très sérieusement du plomb dans l’aile. Si la gauche perd, nous sommes à terre encore plus durablement et le deuxième mandat de Sarkozy s’envisage à droite plus facilement. Surtout une nouvelle victoire donnerait des ailes au projet libéral. « Voyez, diront-ils, les français ne nous ont pas désavoué, ils sont d’accord » . Dans ces conditions, il est incroyable de voir la droite vouloir politiser cette élection et nombre de figure de la gauche pratiquer un micro localisme risible et désuet. Évidemment que les citoyens savent qu’ils vont élire des gestionnaires locaux. Mais ils savent aussi que leur choix aura un impact politique.