Lettre ouverte à la gauche radicale.

La gauche anti-libérale oui ! Mais sans la LCR apparemment... Olivier Besancenot a été le premier diviseur en refusant de participer au collectif unitaire. On n'a pourtant jamais cessé de lui tendre la perche.

Et au vu de l'Assemblée générale de l'UNEF Clermont d'hier soir, ça donne une idée si la LCR prenait le pouvoir. Avec la LCR, il faut voter au préalable pour savoir si on a le droit de voter un point à l'ordre du jour. Très inventif !

Je n'ai plus aucune illusion sur ce parti dangereux. Je le reconnais : je me suis trompé en défendant une alliance avec ces gens. Beaucoup de ses membres sont incohérents.

J'ai été aussi particulierement choqué par la tournure qu'a prise cette soirée. Cela n'a fait que confirmer ce que je soupçonnais déjà, il y a quelque chose de fondamental qui nous separes, nous socialistes vis a vis de la LCR, c'est le respect de la democratie. Il me fut donné de voir que celle ci n'était pas l'apanage de quelques miltants un peu 'franc-fou", mais bien de l'immense majorité des membres de se parti sectaire et je suis d'accord, dangereux. Un de ses militants me parlait de n'instituer le droit de vote que pour les salariés, mais là j'ai vu que c'était le genre d'idée qu'ils etaient capable de mettre concretement en oeuvre s'ils etaient au pouvoir. Pourquoi le PS ne peut gouverner avec la LCR? Parceque ces derniers sont ni plus ni moins que des anti-republicains et veritablement partisant d'une dictature.

Matthieu Perona a écrit:

La gauche anti-libérale oui ! Mais sans la LCR apparemment... Olivier Besancenot a été le premier diviseur en refusant de participer au collectif unitaire. On n'a pourtant jamais cessé de lui tendre la perche.

Et au vu de l'Assemblée générale de l'UNEF Clermont d'hier soir, ça donne une idée si la LCR prenait le pouvoir. Avec la LCR, il faut voter au préalable pour savoir si on a le droit de voter un point à l'ordre du jour. Très inventif !

Je n'ai plus aucune illusion sur ce parti dangereux. Je le reconnais : je me suis trompé en défendant une alliance avec ces gens. Beaucoup de ses membres sont incohérents.

Oui mais du coup, nous avions raison.
Sur le vote de l'ordre du jour, c'est plutôt bien vu, comme ça la majorité décidé elle même de ce dont les minorités doivent parler et débattre. Et ça se prétendait être une rupture démocratique des stal...

Désolé Thibaut, je ne comprends pas le début de ta réponse : "du coup, nous avions raison". Qui est "nous" et raison de quoi ?

Pour la deuxième partie de ton message, je suis entièrement d'accord avec toi. Ils sont en train d'appliquer à l'UNEF exactement l'inverse de ce qu'ils préconisaient lors du dernier congrès. Ils sont anti-démocrates ; ça leur appartient, on leur laisse ce bilan. Ils ne sont pas en train de se faire une bonne publicité auprès des étudiants.

Mais ce qui est particulièrement intolérables, c'est que certains dans leur rang utilisent de manière répétée la violence et l'insulte envers des camarades.

Je n'ai plus aucune illusion sur ce parti dangereux. Je le reconnais : je me suis trompé en défendant une alliance avec ces gens.

Le nous c'est moi et les autres camarades déféndant la même ligne comme l'indique le nous... et le reste concerne la citation en haut voilà tout.

L'alliance était de circonstante et n'était valable qu'à l'UNEF.

Pour une alliance de la gauche, la LCR et Olivier Besancenot en ont été absents depuis le départ.

S.Maisonneuve a écrit:

Sur les livres de compte donc. Une verification de ceux ci par des agents administratifs specialement affecté a cette tache. Lecture, verification, solution. La publication? les entreprises concurrentes ne demanderaient que ça, on verrait de trés belles OPA, et une economie Française dépossédé de toutes ses entreprises car sous controle Americain ou Chinois, et ne pouvant lutter efficacement car ces derniers n'auraient pas les mêmes contraintes.

Très convainquant. Même que pour éviter la guerre et le fachisme, fallait faire une pause dans les réformes en 1936, pour pas effrayer la bourgeoisie. Comme chacun sait, ça a très bien marché. Le progrés social est comme une bicyclette : quand il n'avance, pas il tombe.

Ca c'est de la pirouette, sortir du debat par une citation: joli!